Parc Honoré de Balzac
60 rue Jean Jaurès
77270 VILLEPARISIS
Ouverture tous les samedis matins
de 10h à 12h
et sur rendez-vous
Entrée gratruite
La Société d’Histoire Locale
Villeparisis et son passé
Samedi 5 octobre 2013
Crépy en Valois et la vallée de l’Automne
8h30 : départ en car de Villeparisis : Centre Culturel
10h : Visite guidée du château de Crépy en Valois et du Musée de l’Archerie :
Le nom de Valois évoque le souvenir des rois qui se sont succédés sur le trône de Hugues Capet : de Philippe VI roi en 1328 à Henri III qui meurt en 1589. Pendant plus de deux cents ans la France est gouvernée par des Valois
Dans l'Ancien Donjon du Château, le Musée de l'Archerie et du Valois présente au travers d’une collection unique en France l'évolution de l'arc et de ses traditions depuis le Moyen Age (les archers anglais infligèrent de sévères défaites à la France à Azincourt et Crécy).
Déjeuner à Crépy au restaurant « Le Pot d’Etain »
Menu
Kir au vin blanc
Feuilleté de saumon sur salade verte
Carbonade de bœuf flamande, pommes vapeur
Brie de Meaux et salade
Vacherin glacé vanille/ fraise et son coulis de fruits rouges
1/3 vin, eau en carafe, café
Après-midi : De 14h30 à 17h30, notre guide nous accompagne en car afin de nous conter l'évolution historique, naturelle, patrimoniale de la Vallée de l'Automne et pour une visite commentée de l’abbaye de Morienval
Coût de la sortie : 62 euros pour les adhérents
67 euros pour les non-adhérents
( transport en car grand tourisme, visite guidée, repas, assurance et pourboires)
Attention : inscription avant le 1er août 2013
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Inscription à la sortie Crépy en Valois
Coupon à renvoyer avec un chèque à l’ordre de « Villeparisis et son passé » au Musée
Parc Honoré de Balzac, 60 rue Jean Jaurès, 77270 Villeparisis
NOM………………………………………………Prénom(s)………………………………….Adresse…………………………………………………………………………………………..
Tel :………………………………………………..Portable……………………………………
Nombre d’adhérents…………………………x 62 euros=……………………………………..
Nombre de non-adhérents……………………x67 euros=…………………………………….
VISITE DE L’HOTEL DE VILLE DE PARIS
4 JUIN 2013
Un groupe d’adhérents de la Société d’Histoire « Villeparisis et son passé » a pu visiter, avec une guide, l’Hôtel de Ville de Paris et admirer les salons, plafonds, sans oublier le grand escalier.
Un peu d’histoire :
Etienne Marcel fait l’acquisition de « La Maison aux Piliers » au nom de la municipalité de Paris en 1367. Elle est remplacée au 16 ème siècle par un palais dessiné par l’Italien Boccador. Pendant la Commune, elle est incendiée le 24 mai 1871 et complètement détruite ; les archives et la bibliothèque sont perdues à jamais. Le bâtiment est reconstruit entre 1874 et 1882 sur les plans des architectes Ballu et Deperthes.
La place de Grèves est rebaptisée Place de l’Hôtel de Ville le 19 mars 1803.
photos: D.BERNAL & F.GAGNEPAIN
Le baccalauréat
Des milliers d’élèves passent leur baccalauréat en ce moment, mais en connaissent-ils l’origine et l’histoire ?
Le mot « baccalauréat » vient du latin bacca laurea , baie de lauriers. C’est un diplôme indispensable à l’entrée de l’enseignement supérieur, il a été créé dans sa version moderne sous Napoléon 1er par le décret organique du 17 mars 1808 et est considéré comme le premier grade universitaire. Il a une double fonction : couronner les études secondaires et ouvrir la porte de l’enseignement supérieur, ce qui constitue une originalité du système français.
Les premiers baccalauréats datent du Moyen Age avec l’apparition de l’Université de Paris : il est alors conféré dans les 4 facultés : arts, médecine, droit et théologie. Le bachelier (il ne s’agit que de garçons) peut ensuite préparer la licence de sa faculté afin d’obtenir le droit d’enseigner (licencia docendi) dans celle-ci.
Après la Révolution qui supprime les universités, le baccalauréat a été réorganisé pour les 5 disciplines d’alors (sciences, lettres, droit, médecine, théologie) par Napoléon 1er en 1808. Le baccalauréat devient alors un grade d’état. Les baccalauréats de chaque discipline ne sont pas de même niveau, ainsi le baccalauréat es lettres est un préalable à la présentation aux autres baccalauréats.
Pour le passer, il suffit d’avoir 16 ans et de répondre aux questions « sur tout ce qu’on a appris » depuis l’école ; c’est un examen uniquement oral.
Quelques dates dans l’évolution du baccalauréat :
En 1808, il y eut 21 bacheliers.
En 1830 est introduite la première épreuve écrite : composition française ou traduction d’un auteur classique, cette dernière épreuve fut remplacée par une version latine obligatoire en 1840.
En 1840, introduction des mentions très bien, bien et assez bien.
En 1853, introduction d’une épreuve de langue vivante au baccalauréat es sciences.
formulaire de bac de la Faculté de droit ( archives CG54)
Il était destiné initialement aux garçons de la bourgeoisie. La première femme à passer le baccalauréat est Julie-Victoire Daubie en 1861. C’est à partir de 1924 lorsque les programmes secondaires pour garçons et pour filles deviennent identiques que le baccalauréat s’ouvre largement.
Dès 1830, on relève des fraudes avec des candidats qui en paient des plus doués pour passer les trois-quarts d’heure d’oral à leur place !!
Quelques chiffres :
De 1930 à 1948 : le nombre de candidats reçus passe de 15000 à 30000.
En 1973, il atteint 150 000, en 1985 250000 et en 1998 470 000.
En 2011 : 567 000 : 283 121 bacheliers généraux
128 832 bacheliers technologiques
155 502 bacheliers professionnels
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Julie Victoire Daubié
1824-1874
Première lauréate
Julie-Victoire Daubié (1824-1874) fut la première femme française ayant obtenu le droit de se présenter au baccalauréat, qu'elle obtint à Lyon en 1861, elle y avait été refusée à Paris et à Aix au seul motif qu’elle était femme. En 1871, elle devint la première licenciée es lettres. En 1866, elle publia « La femme pauvre au XIXème siècle », dans lequel elle désignait l’état comme responsable de l’inégalité hommes-femmes dans l’emploi et en matière de salaires. Elle fut une militante féministe : droit de vote des femmes, défense des mères célibataires, dénonciation de la prostitution. Son combat pour l'éducation des femmes et leur accès à l'enseignement supérieur a inspiré la féministe anglaise Joséphine Butler qui a traduit en langue anglaise une partie de ses œuvres
Sources : extraits d’articles de C.Proust, F.Labalette. (Historia, Le monde )
FETE DES PERES
Origine
En Italie, au Portugal ou en Espagne, les pères étaient fêtés depuis le Moyen Age le 19 mars, jour de la Saint-Joseph. L’habitude de les célébrer en juin vient des Etats-Unis.
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En effet, l’idée est née à Spokane (état de Washington) : Sonora Smart Dodd fut la première personne à proposer la fête des pères. En écoutant un sermon le jour de la fête des mères en 1909, elle s’interrogea sur cette célébration : elle avait été élevée par son père, Henry Jackson Smart, après la mort de sa mère et elle voulait lui faire savoir à quel point elle lui était reconnaissante.
Comme son père était né en juin, elle choisit ce mois pour organiser la première fête des pères à Spokane le 19 juin 1910.
En 1924 le Président Calvin Coolidge soutint l’idée d’une journée nationale de fête des pères. Mais il fallut attendre 1966 et le Président Lyndon Johnson pour que fut signée la proclamation officielle d’un « Father’s Day » le troisième dimanche de juin.
C’est en 1952 que la France institua la première fête des pères
En France, les publicitaires ont lancé cette fête dans les années 1950 avec cette publicité imaginée par l’inventeur du premier briquet à gaz : « Fête des Pères ! Offrez-lui un Flaminaire. Le briquet qui tient ses promesses ! »
Source : J-P Raymond
Chez Eve Hanska en Ukraine
Wierzchownia est un château de la fin du 18e siècle, construit par l'architecte italien Blerio.
Il a appartenu à Madame Hanska et à son époux, Monsieur Hanski, mort en 1841.
Balzac y a séjourné à plusieurs reprises : entre septembre 1847 et janvier 1848 puis, très malade, entre octobre 1848 et avril 1850.
Cette demeure était somptueuse, comme en témoigne une lettre envoyée par Balzac à sa soeur où il relate son installation :
« En ce moment, j'ai un délicieux petit appartement composé d'un salon, un cabinet et une chambre à coucher ; le cabinet est en stuc rose, avec une cheminée, des tapis superbes et des meubles commodes, les croisées sont toutes en glace sans tain, en sorte que je vois le paysage de tous les côtés. Ceci peut te faire imaginer ce que c'est que ce Louvre de Wierzchownia, où il y a cinq à six appartements de ce genre à donner ». (A Laure Surville. - Correspondance de Balzac . - Paris : Éditions Garnier frères, 1969 . - tome V. - p. 265. Cité dans PIERROT Roger. - Honoré de Balzac. - Paris : Librairie Arthème Fayard, 1994. - p. 466)
PARIS : Les dernieres années
La maison de Balzac rue Fortunée à Paris
Il s'agit d'une ancienne dépendance de la chartreuse Beaujon, ayant appartenu au financier Nicolas Beaujon.
Balzac l'acquiert en 1846, afin d'y résider avec Madame Hanska, sa future épouse.
L'hôtel comprend un corps de logis encadré par deux cours, ainsi qu'une chapelle (la chapelle Saint-Nicolas, dépendant de l'église Saint-Philippe du Roule). Le corps de logis est nettement visible sur la photographie ci-dessus. La chapelle, quant à elle, se trouve derrière, dans la partie gauche du cliché : on distingue le dôme qui la surmontait.
Balzac avait luxueusement aménagé cette maison pour Madame Hanska, comme en témoignent les aquarelles qu'il commande à l'architecte Santi, l'inventaire dressé par ses soins en 1848 et une porte en marqueterie aujourd'hui conservée au musée Balzac.
Balzac meurt le 18 août 1850 dans ce domicile. La rue Fortunée, visible au premier plan sur la photographie, est rebaptisée rue Balzac l'année de son décès.
Cet hôtel a été revendu en 1882 après le décès de Madame Hanska, puis a été détruit pour laisser place à l'hôtel Salomon de Rothschild (la photographie de Cary restitue l'état de l'hôtel de Balzac quelques temps avant sa destruction). Son emplacement est aujourd'hui occupé par le Centre national de la photographie
Vous pourrez retrouver tous les articles sur les demeures de Balzac dans le jeu des 7 familles:
"Balzac, sa vie, son oeuvre, son époque"
vendu par la Société d’Histoire « Villeparisis et son passé »
conçu et réalisé par D & H Thénault pour la Société d'Histoire "Villeparisis et son passé"
disponible au musée à Villeparisis.
MUSEE
Parc Honoré de Balzac
60 rue Jean Jaurès
77270 Villeparisis
PARIS
la maison de Passy, rue Raynouard 1840-1847
Balzac s’installa à Passy après la vente judiciaire des Jardies à Sèvres-Ville d’Avray. Pour échapper à ses créanciers, il s’installa sous le pseudonyme de Breugnol, nom de sa gouvernante. Ce fut un refuge avec 2 escaliers dont l’un permettait de s’enfuir par la rue Berton lorsqu’un créancier se présentait rue Raynouard.
La rue Berton
Ce fut le lieu d’un travail acharné ; tout en poursuivant la rédaction de son œuvre, il corrigea l’ensemble de La Comédie humaine
De taille modeste, il comporte cinq pièces:
1.la salle à manger, face à l'entrée
2. la chambre de Balzac, orientée à l'ouest, côté jardin
3. un salon
4. un cabinet de travail, dans l'angle sud-ouest
5. une chambre d'amis, dans l'angle est
Ainsi qu'une cuisine et deux petits cabinets.
On ne connaît pas beaucoup de documents concernant la maison ou son aménagement intérieur du temps de Balzac. Seuls quelques lettres, contrats et calepins du cadastre nous renseignent aujourd'hui. Étonnamment, l'écrivain n'en fait pas non plus mention dans La Comédie humaine, contrairement à ses autres lieux de résidence. On possède cependant quelques informations intéressantes.
On sait tout d'abord qu'il n'y avait ni véranda ni vestibule en 1840 : on entrait directement par la salle à manger. De plus, la cheminée en faïence qui se trouve dans cette pièce ne fut installée que tardivement, sous Napoléon III.
Quant aux murs, ils étaient tendus de tissu, et plus particulièrement de "perse" dans les chambres (lettre à Mme Hanska. Le salon enfin était de couleur violette (lettre janvier 1844).
Le bureau de Balzac
VISITE DU PANTHEON
Lundi 29 avril, un groupe d’adhérents de la Société d’Histoire « Villeparisis et son passé » se retrouvait à la gare de Villeparisis pour aller visiter le Panthéon.
La visite guidée de 1h30/2h était assurée par une conférencière des monuments nationaux.
Le Panthéon est un monument de style néoclassique situé place du Panthéon sur la montagne Sainte-Geneviève, dans le 5e arrondissement de Paris, au cœur du quartier latin. Il est entouré notamment de la mairie du 5e arrondissement, du lycée Henri-IV, de l'église Saint-Étienne-du-Mont, de la bibliothèque Sainte-Geneviève et de la faculté de droit. La rue Soufflot lui dessine une perspective jusqu'au jardin du Luxembourg.
Prévu à l'origine au XVIIIe siècle pour être une église qui abriterait la châsse de sainte Geneviève, ce monument a maintenant vocation à honorer de grands personnages ayant marqué l'histoire de France.
Photos: F.Gagnepain
LA FETE DES MERES
Tout le monde connaît la fête des mamans, mais quelle est l’origine de ce mot « maman » ?
Ce mot vient d’une racine d’ancien latin « mama » qui signifiait mamelle, nourrice. Cette racine latine remonterait à l’indo-européen et signifiait « téter ».
C’est un mot qu’on apprenait aux bébés et aux très jeunes enfants seulement ; il était abandonné dès que les enfants grandissaient et n’était jamais employé par des adultes. Autrefois, on appelait sa mère « Madame ou ma mère » selon qu’on était noble ou paysan ( voir les pièces de théâtre de Molière) . Ce n’est qu’au 18ème siècle que le mot « maman » fut employé par tous, quel que soit l’âge.
UN PEU D’HISTOIRE
Dans la Grèce antique, les historiens ont décelé dans les rites printaniers de Rhéa, la Mère des Divinités, la trace d’une célébration particulière en l’honneur des mamans.
La première mère qui a été fêtée, c’est celle des dieux, Cybèle. On a commencé à la fêter en Phénicie puis dans l’empire romain. La fête durait chaque année du 15 au 27 mars. Ce culte a été abandonné au IVème siècle après Jésus-Christ.
LA FETE DES MERES ACTUELLEMENT
L’origine de cette célébration nous vient des Etats-Unis :
C’est l’auteur Julia Ward Howe qui fut la première à suggérer que la fête des mères soit célébrée un jour chaque année dès 1872 : la « Mother’s day proclamation »
Ecrite en 1870, la « Mother’s day Proclamation de Howe fut d’abord une réaction pacifiste au carnage de la Guerre de Sécession aux Etats-Unis et à celui de la guerre de 1870 entre la France et la Prusse. Cette proclamation était liée à la croyance féministe de Howe, c'est-à-dire que les femmes ont une responsabilité dans la direction des affaires politiques.
.Julia Ward Howe organisait une réunion de la journée des mères à Boston chaque année. Mais la plupart des personnes ne prirent pas son idée au sérieux. Et ce n’est qu’ en 1907 que les choses bougèrent avec Anna Jarvis.
Ayant perdu sa mère le second dimanche du mois de mai 1907, une Américaine, Anna M.Jarvis, institutrice, entreprIT une démarche auprès des autorités de son état : la Virginie, pour célébrer un service religieux en l’honneur de toutes les mamans lors du second dimanche du mois de mai. L’année suivante, la première Fête des Mères sous la forme que nous connaissons aujourd’hui fut célébrée à Grafton, lieu de naissance d’Anna Jarvis. Sa campagne sembae émouvoir la population, car l’usage s’implanta bien dans le reste de la Virginie. En 1914, le président Woodrow Wilson institua le second dimanche de mai comme journée de fête officielle en l’honneur de toutes les mamans.
Plus tard, c’est en 1917 que les soldats américains, entrés dans le premier conflit mondial, propagèrent cette célébration en Europe.
Les Américains qui avaient opté pour un vrai « Mother’s Day » le développèrent ardemment durant la première guerre mondiale et les Français chargés du courrier constatèrent des envois massifs à cette date qui leur était mystérieuse. Et comme la France aavait encore plus besoin de se repeupler après la guerre 14-18, cette coutume allait faire des émules.
Dès juin 1918, prenant modèle sur les soldats américains, les Français célébrèrent la première fête des mères. En 1920, le Ministre de l’Intérieur créa le 19 décembre « la première journée des mères de famille nombreuse ».
Cette fête était à l’origine un instrument de la politique nataliste de l’époque. La fécondité était alors érigée en vertu civique. Cette aspiration, puissamment relayée par un courant patriote, fut officialisée en 1926. Mais, la Fête des Mères, sous sa forme actuelle, c’est-à-dire célébrant toute les femmes ayant connu la maternité sans discrimination par rapport au nombre d’enfants date du Gouvernement de Vichy.
Le 25 mai 1941, le Maréchal Pétain institua définitivement « la journée nationale des mères ». A l’époque, l’image que l’on véhiculait de la mère étaitt totalement différente de celle qui existe actuellement : il s’agissait d’une mère au foyer, bonne cuisinière, peu éduquée, relativement soumise aux exigences masculines.
Cette fête laïque très populaire en France a été instaurée officiellement en mai 1950, sous la présidence de Vincent Auriol (loi n°50.577 du 24 mai 1950).
C’est sous le Général de Gaulle que la fête est fixée au dernier dimanche de mai.
Chaque année des médailles sont remises aux mères de famille nombreuse :
Médaille d’or, lorsque le nombre d’enfants est de 8 ou plus
Médaille d’argent : pour 6 ou 7 enfants
Médaille de bronze : pour 4 ou 5 enfants.
La fête des mères a lieu dans la plupart des pays d’Europe, mais à des dates différentes.
Article publié dans le bulletin de liaison de la Société d'Histoire " Villeparisis et son passé' n°49
La Société d’Histoire
Villeparisis et son passé
Visite de l’Hôtel de Ville de Paris
Mardi 4 juin à 14h
Un peu d’histoire :
Etienne Marcel fait l’acquisition de « La Maison aux Piliers » au nom de la municipalité de Paris en 1367.
Elle est remplacée au 16ème siècle par un palais dessiné par l’Italien Boccador.
Pendant la Commune, elle est incendiée le 24 mai 1871 et complètement détruite ; les archives et la bibliothèque sont perdues à jamais.
Le bâtiment est reconstruit entre 1874 et 1882 sur les plans des architectes Ballu et Deperthes.
La place de Grèves est rebaptisée Place de l’Hôtel de Ville le 19 mars 1803.
««
L’entrée se fait au coin de la rue de Rivoli et de la rue Lobau
Accès : RER B : direct de Villeparisis, descendre à Chatelet
Possibilité de partir de la gare de Villeparisis à 13h
Tarif : 12 euros pour les adhérents, 14 euros pour les non-adhérents
Inscription avant le 1er juin
En envoyant le coupon avec un chèque à l’ordre de « Villeparisis et son passé » au Musée, Parc Honoré de Balzac, 60 rue Jean Jaurès, 77270 VILLEPARISIS
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Inscription pour la visite de l’Hôtel de Ville le 4 juin 2013
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Adresse…………………………………………………………………………………………
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Nombre d’adhérents………………….x12 euros………………………………………..
Nombre de non-adhérents……………….x 14 euros………………………………………