Vers 1860, Villeparisis avait beaucoup perdu de son lustre : les auberges disparaissaient, faute de clientèle, il en était de même pour les vignerons et les petits commerces.
La prospérité venait des carrières et de l’agriculture : le commerce des « pailleux » qui fournissaient en paille le marché aux bestiaux de La Villette apparut dans ces années .
La maison des « pailleux », située Rue de Ruzé, détruite en février 2009.
L’eau et les fontaines
Le problème principal était celui de l’eau (qui se posait depuis le Moyen-Age). Il fut, en partie, résolu en 1868 quand M de Ruzé fit installer une citerne en bordure de la rue de Courtry pour collecter les eaux de plusieurs sources. De là, des canalisations conduisaient les eaux aux bornes. La fontaine la plus gracieuse était encastrée dans la façade de la mairie : c’était un bassin surmonté d’un monument avec le buste de M de Ruzé. Cette statue de bronze fut enlevée en 1940/41.
Le monument portait cette mention flatteuse :
A Monsieur A-F de Ruzé
La commune de Villeparisis reconnaissante
1885